Vers uniques pour Véronique.

Comme tu sembles aimer ma plume,

Je t’envoie quelques mots légers.

J’ai l’esprit comme une enclume;

Il me faut ici le verbe libérer.

 

Les vers coulent et m’ amusent…

Serais-tu une taquine muse ?

Toi, Véro, l’aloe vera, épanouie;

Douce peau d’ébène si jolie.

 

Je sens en toi une belle nature

D’humeur joyeuse et sûre.

Dis-moi, ce n’est pas un mur

Qui cacherait une blessure ?

 

Je te souhaite tout le bonheur

Du monde et que ton coeur

Continue longtemps de battre

Dans cette vie et son théatre.

                     31/05/2008

                      Véro-aloé.

La plume me chatouille les neurones; ma muse me hante,

Mes doigts grattouillent le clavier; ça m’amuse et je tente…

Ecrire quelques vers de noirs désirs en devenir m’enchante.

 

Rêves de la nuit passée au goût d’aventure flamboyante ?

Espoir de passion, de fruit défendu, d’envies enivrantes;

Un ailleurs possible d’une vie aux couleurs chatoyantes.

 

Du sommeil et du virtuel net est née une réalité aimante:

L’Aloé-véro, de mes vertes cultures, est l’unique plante,

Qui touche mon coeur vaillant, ma grande âme innocente.

 

Me voilà donc en joie! Tel l’ orpailleur devant l’or-rente…

Le chineur trouvant le sublime trésor d’ une brocante…

La perle rare qui ornera si bien le solitaire en attente…

 

Cette amitié particulière et réelle que je commente

N’est pas ficelée, attachée, enchaînée, dépendante

Mais enlacée de paix et de complicité intelligente.

                                                                                    © chridriss

                                                                                   11/07/2008.

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