T’oublier ? Non !

Une rupture, c’est comme un ciel gris d’ orage

Quand la foudre te prend tout à coup en otage ;

Où tu ne peux accepter cet éclat cruel de rage

Qui nous plonge, démuni, dans un vil carnage.

Il n’y a pas de pire souffrance que celle du cœur.

D’autant plus quand la cause vient de soi-même.

Oui, j’ai trouvé pour mon plus grand malheur

Par mes mots durs et blessants, Mon Problème !

Je n’ai pas su te dire « combien je t’aime »

Mais plutôt « comment je ne sais t’aimer ».

Je n’ai pas su t’ écouter et en paix te laisser

J’ai récolté le fruit amer de ce que je sème…

Le temps passe… je ne peux t’oublier, mon Amour,

J’ai même essayé de chercher  ailleurs un peu de réconfort,

Mais je n’ai trouvé que des larmes dans ce faux décor.

Car jamais je ne t’oublierai ; tu es, oui, pour toujours…

L’élue de mon cœur ! Rien, ni personne ne saura

Me consoler ; ne pourra me donner ce que tu es.

Toi qui fait vibrer mes jours, mes nuits ; tu le sais !

Alors comment me faire oublier que tu es là…

Dans mes rêves, dans mes espoirs, dans ma vie.

Que tu es si présente en moi ; que tu es la pluie

Qui rafraichit mon corps et le soleil qui fait briller

Mon âme ! Tu es la lumière ! Mon tout, mon aimée !

Malakoff, 18/07/2012 – © Chridriss

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