« The top five regrets of the dying » de Bronnie Ware.
Bronnie Ware adore écrire de la poésie mais pour gagner sa vie, elle a choisi un travail qui va bien au delà d’un simple travail… En effet, c’est son coeur qui parle quand elle masse les pieds; change les draps, prépare le thé…aux personnes en fin de vie qu’elle accompagne jusqu’à leur dernier souffle.
Des Blue Mountains d’Australie où elle vit, elle a eu l’idée d’écrire les confidences d’avant leur « grand voyage ». Elle en a retiré que ce sont toujours les mêmes 5 grands regrets qui revenaient dans les conversations.
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Avoir le courage de vivre sa vie et pas celle que les autres attendent de soi : ne pas vivre au travers d’autrui.
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Ne pas centrer sa vie sur le travail. Prendre le temps de se recréer, d’avoir des activités en dehors du travail.
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Avoir le courage d’exprimer ses sentiments. Dire notre amour à ceux qui nous sont chers.
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Rester en contact avec ses amis. Pour ne pas mourir seul(e).
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S’autoriser à être plus heureux. Ne pas oublier le bonheur.
Bonne lecture !
Chriss 😉
Le 11/06/2013 – © chridriss
« The top five regrets of the dying » de Bronnie Ware, Hay House, Londres. 246 p.
www.hayhouse.co.uk
(non traduit en français).
Merci, Chriss pour ce sympa billet. Mais etes-vous sur que cette dame n’a pas espionné ma manière de vivre et de me comporter? En tout cas, ma vision de la vie correspond intégralement à ce que vous nous avez envoyé à travers votre blog.
Merci
Votre message me fait plaisir Abdoulaye ! En effet, c’est aussi ma vision de la vie. Mais ce jour, mon humanisme est mis à mal dans ce sujet que je vous invite à lire: http://chrissfreevoice.wordpress.com/2013/06/09/racisme-sexisme-exotisme/
Et la suite sur twitter… est un acharnement du féminisme noir !
J’en viens à être désolé d’aimer tout le monde…même si parfois, j’ai le verbe dur !
Au plaisir !