Ah, qu’elle est douce et attendue cette double syllabe, balbutiée Par le bébé, avant ou après le « Maman », pour celle qui l’a enfanté. Il répétera à l’envi ces mots si simples et pourtant si lourds à porter. Petit d’homme! Le long et dur chemin ne fait que commencer… Mon papa! Que j’aime t’ entendre m’ appeler...
Toi, mon fils.. C’ est dans les jeux de mon unique enfant, Que je noie parfois, de la vie, les tourments. Mais, toujours, je savoure pareils instants : De l’ amour; de la richesse d’ être parent. Même si, dans les yeux de mon fils, Je sens souvent le vent du « sacrifice »; Juste son sourire,...
Me voilà sur un big blog Pour tenter le dialogue Avec de nouveaux amis A qui je dis déjà merci ! Me voilà sur l’ internet Qui me vide bien la tête. Pose ma prose tout net Sur le web à facettes Me voilà sur la grand toile Sans masque, sans voile, Ouvert à la...
Mauvaise copine ! ! ! Herbe magnifiée par les rastas, Pour communier avec l’ au-delà; Feuilles vénérées des cool-babas, Sensées bien ouvrir les chakras… Fumée dense que l’ ami donne Pour vous masser les neurones; Voluptée déguisée si friponne Voyage au pays des Amazones. Te voilà la voix perdue qui annone Dans les...
ça va aller… J’ai le rhume Qui m’embrume; Et le cerveau En cours d’eau. J’ai le nez-forge Qui dégorge; Et la gorge Qui s’engorge. J’ai le foie Qui aboie; Et l’estomac Tout en bas. Mais rien ne sert d’ être malade ! ….même si… La tête est une...
C’ est ta fête aujourd’hui ! Tu nages toujours Entre deux eaux; Accroché ce jour Entre deux manteaux. Tu t’ amuses à un fil De toute couleur De toute forme. Tu te réjouis fragile; Jusqu’ à moqueur, Tu te rendormes… ….Attendant l’ année prochaine…. © chridriss 01/04/2006.
Plein temps…de vie. Voilà le printemps qui chantonne à ma fenêtre… Mais le soleil piétine toujours le thermomètre. Aux arbres, les feuilles vont enfin réapparaître; Les fleurs, intimidées hésitent encore à renaître. Voilà le printemps qui fait danser le vieux baromètre; Le ciel pleure le dernier hiver d’ aucuns feux-ancêtres. Les racines terrassent le sol...
Si j’étais un ver…(mi-sel ?) Je croquerais les belles Endormies éternelles ; A pleine bouche d’elles , Fruit défendu de Tell. Je boirais le doux miel Des humeurs universelles. Souvenir sangsue-elle Jusqu’à leur prunelle. MAIS… Je serais mouche de fiel Pour l’hominidé cruel Qui eût fait querelle De l’humidité pucelle. Sur ces faux rebelles,...
